Dans le village pittoresque de Giverny, à une heure de Paris, nous avons visité le Musée des impressionnismes et plus particulièrement l’exposition Photographier les jardins de Monet« . Cinq photographes contemporains, dont Bernard Plossu, donnent leur vision des célèbres jardins de Claude Monet, l’un des motifs les plus photographiés au monde. Exposition visible du 31 juillet au 1er novembre 2015.
Ateliers mômes
Les enfants sont particulièrement choyés dans ce musée et peuvent découvrir les débuts de la photographie dans une vraie chambre noire. Durant l’exposition « Photographier les jardins de Monet« , le Musée des impressionnismes propose toute une série d’animations pour les artistes en herbe (ateliers ouverts pour les enfants entre 5 et 12 ans). Réservations et renseignements au 02.32.51.94.65 ou sur www.mdig.fr
Débuts de la photo
Pour les parents et fans de photographie, il y a de quoi enrichir ses connaissances à propos des techniques et des mouvements esthétiques, comme le Pictorialisme, un mouvement qui est né paralèlement à celui des Impressionnistes.
Photo : les jardins de Claude Monet en septembre – Le célèbre bassin des nymphéas peint par Monet.
Où manger en famille au Grand Bornand ? A la Basserie – pizzeria La Croix St Maurice.
En bas, on croque une pizza à la pâte fine. En haut, on déguste des spécialités de la région été comme hiver : tartiflette, raclette, fondue savoyarde, et des desserts maison, comme cette glace au Génépi (un élixir d’herbes) parfumée et servie avec une crème brûlée. … On est au pays du reblochon ! Vous pouvez aussi découvrir les diots, la délicieuse charcuterie de pays, les tartes aux fruits de la montagne… Accueil sympathique et vue sur la place du village, la Grenette.
La station le Grand Bornand bénéficie du label Famille Plus ! Plus d’infos sur Le Grand Bornand.
Hôtel La Croix St Maurice 29 Place de la grenette F- 74450 Le Grand-Bornand +33 (0)4 50 02 20 05 +33 (0)4 50 02 35 37 info@hotel-lacroixstmaurice.com
Les Aravis, c’est le nom des montagnes que l’on aperçoit de la terrasse de ce logement familial. Dans un chalet situé au cœur du village, une vingtaine d’appartements en location. Très bien situé pour ceux qui aiment l’animation d’une station alpine, cet ensemble d’appartements est totalement équipé : salle de bain dotée de douche, lave-linge, cuisine équipée de lave-vaisselle, micro-ondes, cafetière, bouilloire. Salle à manger et salon tv, avec possibilité de loger aussi sur le divan-lit. Deux chambres proprettes, avec lits jumeaux. La déco est simple, sobre, de bon goût.
Prix de la location : à partir de 400 euros en basse saison, la semaine, 6 lits.
Il est possible de louer un garage pour 62 euros la semaine, ce qui est pratique lors de la haute saison.
Les plus « enfants bienvenus »:
La station le Grand Bornand bénéficie du label Famille Plus, et on le comprend: tout est pensé pour l’accueil des familles avec enfants de tout âge. En plus, ce village jouit d’une belle homogénéité architecturale, avec ses chalets en bois, dont certains très anciens.
Suite de nos comptes-rendus du Festival Au Bonheur des mômes. Voici un chef-d’œuvre de poésie et d’humour : « Les petits commencements »
Théâtre de papier Sur scène, des petits papiers devenus personnages s’affairent et racontent les premières fois, à travers un cadre divisé en douze carrés. Comme des cases de BD ou des fenêtres donnant sur un ailleurs onirique, cette succession de scénettes attendrit les parents et séduit les petits : dans la salle, ils s’esclaffent, rient, s’écrient de joie. Les deux marionnettistes cachés sous un voile noir (ils ont eu la tendresse de prévenir prévenu les mômes du subterfuge et de leur montrer sur les aiguilles d’une horloge quand le spectacle finit !) donnent vie à un petit gars têtu, coquin, hardi et maladroit comme Gaston Lagaffe. Il rencontre une folle salade, un drôle de renard, un nuage monstre et des héros de film japonais. Parfait moment d’évasion, le langage fuse comme les expressions d’enfants, le rythme prend et la scénographie souligne l’inventivité. Coup de cœur !
Le mot de l’auteur Guy Jutard (plasticien et pédagogue, il dirige Le Théâtre des Marionnettes de Genève) a eu envie de « faire un spectacle qui recommencerait et finirait plusieurs fois : une façon d’amoureusement me venger. Une façon de rendre hommage aussi à ceux qui composent une œuvre mettant bout à bout vingt histoires ou cinquante dessins : je pense à Hungerer, et surtout à Sempé. Autour de la belle unité esthétique qui forme l’ossature de leurs œuvres, ils laissent s’épanouir la poésie et l’humour dans le raccourci, la forme courte ».
Durée : 45 minutes. Age : dès 4 ans. Auteur : Guy Jutard.
Lors du festival Au Bonheur des mômes, nous sommes aussi allés voir des spectacles destinés aux touts petits (de 18 mois à 5 ans) comme « Splatch ! »
Le spectacle
Deux dames clowns en pyjamas rayés font trempette devant une vidéo d’eau. Clapotis et découvertes suscitées par l’élément aquatique déclenchent rire et sourire parmi les tout petits spectateurs. Une vague de tendresse déferle sur la scène, les comédiennes pataugent, s’aspergent, se cachent; les minis en redemandent.
Chaporte-moi est un spectacle acrobatique tout public, qui a fait l’ouverture du festival Au Bonheur des mômes.
Un duo de trapézistes, jongle, lutte, virevolte et s’envole pour posséder un chapeau boule.
Lui naïf n’y voit goute, elle maligne, mouline une canne à pêche pour percher son couvre-chef hors d’atteinte. Trapèze, tissus tout sert à l’élévation et à la récupération du chapeau, de cette lutte cocasse, un complicité et une tendresse naîtrons. De la poésie aérienne, de l’humour, un parterre d’enfants et d’adultes captivés par les facéties des deux acrobates voltigeurs.
Nous avons passé notre dernière semaine de vacances au Grand Bornand, où se déroule le festival le plus tendre de l’été, AuBonheur des mômes. Six jours de spectacles, performances, jeux destinés au jeune public dans un très joli village savoyard. La moitié des spectacles programmés cette semaine sont en accès libre. Petit compte-rendu de nos découvertes et enthousiasmes partagés avec Charles et Lou.
Dimanche 23 août
L’ouverture de la 24e édition du festival de théâtre jeune public du Grand Bornand, Au Bonheur des mômes, se déroule sur les hauteurs de la station au Chinaillon. Un bourg, traversé par une route parcourue par des spectacles ambulants et bordée d’espaces où se donnent des représentations.
Tous les spectacles sont gratuits ce dimanche, un service de navettes permet de rejoindre le Grand Bornand et ses animations ludiques (les Festijeux ont beaucoup plus aux enfants), ses ateliers. Une journée de spectacles, d’animations, de rêves en plein air. La foule est bigarrée, le succès populaire certain. Au menu, de l’imaginaire, du monde parallèle, de l’utopie, du militantisme (un festival pour tous, dont la moitié des spectacles est accessible gratuitement), de l’humour, de la poésie un brin de magie au pied des pistes de ski redevenues alpages pour les mois d’été. De la kyrielle de spectacles et performances (17 au programme) nous avons flashé sur des trapézistes, une peluche géante animée, des musiciens engagés et quelques étranges personnages.
Chaporte-moi : lire notre avis sur ce super spectacle d’acrobates.
Les Pourkaopas, musiciens recycleurs de l’improbable. 3 batteurs, un souffleur-chanteur et des rythmes endiablés pour chanter l’absurdité de la société de consommation. Du groove en tambourinant sur des casseroles, des gaines d’isolation, des couvercles et du bric-à-brac assemblé avec génie.
M. et Mme Bonheur parcourent le monde dans leur vaisseau spatial. Les grincheux disent que ce n’est q’une voiturette de manège transformée, mais M. et Mme Bonheur sont tellement affables, que les grincheux ne peuvent le rester longtemps. Bonjours joviaux, histoires drolatiques, impros improbables, les sourires sont vite au rendez-vous et fleurissent en explosion de confettis.
La peluche est une marionnette orange, figurant un singe, ou un kangourou, ou les deux. Elle déambule du haut de ses 5 mètres à la rencontre des badauds. Elle est curieuse de tous. Tente de nouer des contacts et exprime sa joie par des émissions de nuages de confettis, ambiance ticket parade newyorkaise. Sa marche chaloupée est bercée par une musique envoutante et électronique. Ses grand yeux bleu clignent d’une hypnotisante vérité, sa vitalité vous capte… quasi une rave d’enfants…
Les danseuses, si elles sont « étoile », sont souvent capricieuses. Maguie Bolle n’échappe pas à la règle, captant au passage un assistant, intimant aux jeunes filles et aux jeunes hommes de se conformer à ses chorégraphies. Maguie fend la foule avec son pas de ballerine, son cabas et ses certitudes, croiser sa route est impérativement drolatique.
Lundi 24 août : lire la suite de nos comptes rendus sur les spectacles.
Un festival de théâtre au sommet des Alpes, rien que pour les enfants ? Oui, au Grand-Bornan !Au bonheur des mômes, du 23 au 28 août 2015, est ouvert à tous et gratuit pour la moitié des spectacles. On adhère à leur slogan : « Lâche tes écrans, viens voir du vivant ! » Rendez-vous dès dimanche 23, nous on y sera!
80 spectacles Surnommé l’Avignon des mômes, ce festival engagé refuse de bêtifier. C’est la 24e édition cette année. Théâtre, danse, nouveau cirque, marionnettes, musique, contes, performances, ateliers, expos… Melting-pot détonnant, Au Bonheur des Mômes voit se croiser dans les alpages 90 compagnies venues de partout.
Sous chapiteau comme au grand air, il mêle l’esprit canaille à la poésie des saltimbanques et bouscule son monde avec impertinence, curiosité et ouverture au spectacle vivant… comme à la différence. Une constante pour le festival, qui en fera néanmoins son thème-phare cette année, en lien avec la Fédération des Œuvres Laïques et les 25 ans des Semaines d’éducation contre les discriminations et le racisme.
Spectacles gratuits Sur 349 représentations proposées au Festival, près de la moitié sont en accès libre ! L’équipe du festival a voulu rendre la culture accessible à tous, et ce dès le plus jeune âge (à partir de 18 mois).
Dire que ses Voyages extraordinaires comptent soixante-quatre volumes ! Mais aujourd’hui, les enfants et adolescents connaissent-ils les histoires de Jules Verne ? Les ont-ils lues ? Sont-elles aux programmex scolaires ? Pas si sûr… En tout cas, du haut de ses huit ans, notre fils, passionné de sciences, de lecture et de découvertes, n’avait jamais entendu parler de Monsieur Verne 😉
Aussi, quand nous sommes allés visiter l’attrayante ville d’Amiens, n’avons-nous pas hésité à inclure la Maison musée de Jules Verne dans notre périple. Nos arsouilles ont succombé au charme du lieu, à son histoire, ont examiné attentivement les anciennes photos accrochées aux murs et le mobilier du XIXe siècle. Dans l’ensemble, nous avons apprécié le charme de cette maison témoin d’uné époque et d’un univers d’écrivain. Quant aux bibliophiles, ils prendront plaisir à admirer les nombreux ouvrages édités par le célèbre Pierre-Jules Hetzel, dont le bureau est reconstitué.
La Maison à la Tour
Au coeur d’un quartier aisé d’Amiens, dans cet hôtel particulier La Maison à la Tour, Jules Verne a vécu 18 ans avec son épouse, originaire d’Amiens. Verne y a écrit la majorité de ses Voyages extraordinaires. Du jardin d’hiver au grenier, 700 objets évoquent la personnalité et les souvenirs du grand écrivain traduit dans le monde entier. Les salles richement meublées, ont été recomposées de meubles d’époque, dans un style eclectique, néo-gothique, tendues de tapisseries à motifs indiens de cachemire du plus bel effet. Originale, une pièce à l’étage ressemble à une cabine du Nautilus, le navire imaginé par Verne, avec la barre et les hublots.
Les trésors du grenier
Notre petit curieux a passé du temps au grenier, où sont exposés différents théâtres pittoresques en carton et des objets surprenants, édités dans toutes les langues, liés aux histoires extraordinaires de cet auteur visionnaire : jeux de l’oie, cartes à collectionner, ainsi qu’une impresisonnante carte géante au sol, reprenant Le tour du monde en qutre-vingt jours… Près d’un coffre ancien, une animation en noir et blanc reprend également des extraits des films inspirés de Jules Verne.
La cour scénographiée par F. Schuiten
L’entrée de cette demeure cossue se fait par une agréable cour, dévoilant un jardin d’hiver et l’acueil du musée. Au mur, une toile géante de François Schuiten (voir sa BD Les cités obscures : Brüselou Les Mers perdues) rappelle les leitmotivs du maître belge.
Infos
Dès 8- 9 ans. Maison Jules Verne, 2 rue C. Dubois. +33 3 22 45 45 75. Voir le site. Gratuit moins de 8 ans, demandeurs d’emploi et Rmistes.
Nos bonnes adresses, nos visites préférées avec les arsouilles, nos conseils pour passer un super week-end à seulement deux heures de Bruxelles et 1h15 de Paris : Amiens, nous voici !
Aux Sans Soucis 1 Place Léon Debouverie +33 3 22 91 76 92
Brasserie disposant d’une vaste terrasse à l’arrière de l’hôtel de Ville d’Amiens. Cuisine picarde (ficelles, moules) menu enfant. Le Quai 3-15 Quai Bélu + 33 3 22 72 10 80 Déco branchée, salle pour groupes à l’étage. Menu à 26€ et menu enfants. Très chouette terrasse sur le canal, face à la sculpture du petit garçon.
Brochettes & Cie 34 Rue du Marché Lanselles +33 3 22 80 49 27
Sympathique resto ouvert le dimanche, chouettes formules brochettes.
Où boire un verre ?
Le Café 17 Rue Flatters +33 3 22 92 14 17
Troquet d’angle proposant un large choix de vins au verre et de jus de fruit, sélections de saucissons. Un brin canaille, excellente programmation musicale.
Karamel Passage Bélu, le long de la Somme. +33 3 22 92 91 41
Où prendre le thé ?
Où trouver des spécialités sucrées ? « Douceurs et gourmandises » : une étonnante confiserie & chocolaterie, à deux pas de la cathédrale 7 Rue Henri IV 80000 Amiens
Mauvaise herbe, un spectacle de marionnettes. Un duo de marionnettistes mélange théâtre d’objets, marionnettes et narration pour évoquer l’amitié d’un garçon avec un vieil homme, Youri, surnommé « Mauvais Herbe », repris de justice se passionnant pour le vol. Pas la fauche, mais bien la suspension dans l’air.
Divers types de marionnette, du bois, un établi qui sert de scène, des automates, une très belle scénographie sans grandiloquence. Les marionnettistes dialoguent avec leurs marionnettes et entre eux et ces plans narratifs qui se croisent et se télescopent plaisent beaucoup à notre ado. Diatribe contre la prison, qui punit le mal par le pire, le spectacle aborde des thématiques rares : amitié, rédemption, exploration, peur, passion, deuil.
Un spectacle qui chamboule plus les repères des grands que des petits, le pardon est-il un signe de jeunesse ? Plusieurs degrés de lecture qui permettent d’échanger entre enfants et parents.
Tout public dès 7 ans
Marionnettes. Durée : 50 mn
Compagnie : Une création du Bouffou théâtre
Un vrai challenge Quand l’agence de tourisme de la France nous a contactés pour expérimenter et écrire sur le Centenaire de 1914-18, nous avons été surpris puis tentés par le défi : apprendre à aborder l’histoire de l’Europe, en se centrant sur le thème de la guerre, est-ce possible ? Visiter des sites commémoratifs sur la ligne de front de 14-18 avec des enfants de 8 et 11 ans nous a en effet semblé le bon moment. A l’école, profs et élèves (dès la 4e primaire) parlent de l’actualité, des guerres dans le monde mais aussi du devoir de mémoire.
La paix, si fragile Car Verdun, taxis de la Marne, Foch, Chemin des Dames bourdonnent dans les médias. Nos grands-parents et arrière-grands-parents l’ont vécue et nous en ont parlé avec émotion. Mais comment parler de la Grande Guerre aux enfants ? Leur offrir différents points de vue sur le Centenaire de 14-18 ? Leur transmettre des valeurs de paix, dans un monde bousculé chaque minute par l’actualité ?
Une semaine de tournage En famille, avec petits et grands, ce défi peut être relevé, grâce au travail pédagogique de certains musées. Dans les prochains jours et semaines sur ce blog, nous allons vous raconter notre voyage dans le nord et l’est de la France, durant une semaine, avec des guides professionnels, et une équipe de tournage. Ainsi, vous découvrirez une sélection de sites historiques que nous avons visités et qui nous semblent « enfants bienvenus » avec des parcours adaptés à leur(s) âge(s).
Les vidéos En partenariat avec Atout France, vous pourrez aussi visionner les vidéos des tournages de nos périples sur le site officiel de tourisme Rendez-vous en France.com.
L’Alsace, c’est l’une des destinations que nous voulions découvrir avec nos moutards. En partant de Bruxelles, en voiture, on a pris le temps de découvrir quelques merveilles : d’abord Reims et sa cathédrale, puis Metz et son extraordinaire centre Pompidou…
Enfin, nous avons passé quelques jours dans les Vosges et l’Alsace, dont voici nos spots préférés. Il y en a pour tous les goûts: sorties, restos, nature et féérie.
C’est dans un superbe parc, à Beaumont-Hamel, qu’a été préservé le le Mémorial Terre-Neuvien qui commémore l’engagement du régiment Terre-Neuvien (régiments provenant du Canada). Ce parc donne une vision émouvante et réaliste des batailles, grâce à un réseau de tranchées admirablement bien conservé. Les mômes sont impressionnés de pouvoir se promener dans ces tranchées et d’imaginer ce qu’il s’y passait, grâce aux explications très vivantes des guides bilingues.
L’avis de Lou: « On pouvait aller dans les tranchées et la madame elle nous expliquait comment ils devaient faire, donc leurs techniques pour attaquer. C’était bien, c’était chouette. Et y avait aussi un caribou et y avait un arbre, le seul arbre qui était là à la guerre, parce qu’on en a replanté plein parce qu’il y en avait qu’un. »
L’avis de Denis : « Ça m’a beaucoup marqué, surtout la perception topographique, le fait que l’on voit les tranchées, le fait que l’on perçoit les lieux où les mitrailleuses ennemies pouvaient tirer avantage du relief pour tuer le plus de gens et empêcher que ça bouge, c’est très marquant. On se plonge dedans, on expérimente personnellement ce que ça doit être de folie de sortir la tête et de traverser à découvert les 200 mètres qui vous séparent de l’ennemi, et de se dire, on va y arriver. Et puis surtout mourir. »
Salut, Je m’amuse bien avec mes copains et je skie comme un fou ! Bise à tous,
Charles (Saint-Léger-les-Mélèzes)
Charles est parti au ski avec sa classe il y a quelques jours à Saint-Léger-les-Mélèzes (Hautes-Alpes). Il a découvert les joies de la glisse et pour l’occasion, il a testé une tenue de ski Eider hyper cool. Les points forts : tenue très chaude, veste coupe-vent, capuche amovible, poches pratiques (dont intérieure, zip), tout imperméable, très légère, et la coupe sympa. Franchement, c’est de la super qualité pour skier sans souci.